Les bandes urbaines – ou les gangs - ont fait l’objet de pas mal de recherches surtout dans les pays anglo-saxons. En France, la presse relaie régulièrement leurs méfaits supposés. Mais que nous apprend la recherche sur ce sujet en Belgique ?
Autre type de criminalité
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Au sein de l’U.E., la traite des êtres humains (T.E.H.) constitue un phénomène majeur. Il ne faut toutefois pas se tromper. Elle ne se limite pas seulement à la question de l’exploitation sexuelle mais elle se décline sous plusieurs formes.
Les regroupements de jeunes sont protéiformes et ils ne peuvent tous être confondus avec des bandes. Quant à celles-ci, elles participent à la socialisation de leurs membres en valorisant certains comportements, parfois déviants, parfois délictueux.
Lorsqu’il est question de bandes des quartiers dits "sensibles", le mot "violences" vient tout de suite à l’esprit. Il convient toutefois d’en distinguer les manifestations en fonction des différents ressorts qui les motivent.
Selon les approches, les bandes (ou gangs) sont sources de liens sociaux entre jeunes vivant dans des situations sociales difficiles, d’activités illégales profitables, de sous-culture voire de période de transition avant le passage à l’âge adulte.
Comment réduire effectivement le risque d’intrusion dans une habitation ? Cela implique-t-il un coût financier important ? La prévention a-t-elle un sens ? Quelques pistes pour limiter les risques de cambriolage.
Des faits délictueux attribués à des "bandes de jeunes" défrayent régulièrement la chronique. Or, nous allons voir que la notion de "bandes" ne fait pas l’unanimité et surtout que le sujet n’est pas récent.