Marchands de sommeil : réalité de terrain et réalité pénale
© S. van Malleghem

Marchands de sommeil : réalité de terrain et réalité pénale

Absence de discrimination au logement, faibles loyers, peu de paperasses administratives… le marchand de sommeil est souvent perçu, du moins au début, comme sympathique, accueillant et protecteur. La précarisation conduit généralement ses victimes à se taire sur l’état déplorable du bien loué ; soit parce qu’elles ne peuvent trouver mieux, soit parce qu’elles ne s’estiment pas en position de contester (séjour illégal, victime d’un réseau de trafic et traite d’êtres humains, …).

La lecture de cet article est réservée aux abonnés de SecuNews.be. Vous pouvez cliquer ici pour souscrire à un abonnement.