Fruit d’un long processus organisé et criminel, ce type de trafic demeure l’un des plus rentable et difficile à endiguer au regard de son caractère transnational et des nombreux acteurs – criminels ou non – qui structurent le marché. Qu’en est-il de la demande ? Et où ces marchandises finissent-elles ?
Criminalité économique, financière, informatique
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Comment sensibiliser les plus jeunes aux dangers d’internet, tout particulièrement en ce qui concerne les comportements sexuels tels que le sexting ?
Malgré le manque de fiabilité voire l’inexistence de données empiriques portant sur le commerce illicite de biens culturels, il existe, toutefois, suffisamment de preuves qui démontrent que ce trafic englobe tant la petite délinquance et la criminalité́ en col blanc que le crime organisé. Qui sont concrètement les acteurs intervenant dans ce type de trafic ?
Si l’escroquerie paraît simple, comment pouvons-nous lutter efficacement contre ce phénomène ? Et, qu’en est-il concrètement du travail policier dans ce contexte ? Dire que les services de police pourraient éradiquer ce phénomène serait une utopie, mais les efforts des services de police unis aux initiatives des partenaires civils concernés par cette fraude peuvent permettre de le maîtriser par une meilleure connaissance des auteurs et des méthodes utilisées, lesquelles sont d’ailleurs en permanente évolution.
Alors qu’il est difficile d’évaluer le nombre de faux billets en circulation, force est de constater qu’il est de plus en plus aisé de s’en procurer, d’apprendre à en fabriquer et, de façon inhérente, à être confronté à de telles contrefaçons. Comment comprendre ce risque, devenu peut-être plus sérieux depuis une dizaine d’années et surtout, comment avoir l’œil et détecter rapidement ces faux ?
L’étape la plus délicate de cette escroquerie est le retrait des fonds frauduleusement acquis. Une phase dangereuse cette fois-ci pour les membres les plus actifs du réseau : les attaquants. Comment ces escrocs arrivent-ils à déjouer tous ces filtres que sont notamment les caméras au sein des espaces self et ATM bancaires et la surveillance bancaire des transactions ? A partir de notre expertise policière, nous aborderons les petits « trucs » de ces escrocs en Belgique pour conclure sur les aspects transnationaux de cette criminalité.
Les escroqueries de type « Post-It » sont souvent l’affaire de réseaux criminels de type pyramidal. En cas de réussite, comment les escrocs récupèrent-ils leur argent et dans quelle mesure ce phénomène tend à « s’internationaliser » ?