Petite délinquance

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Arbres, haies, clôtures … quelles sont les règles ?

Si pour l’environnement, les arbres et les haies évoquent la nature, la tranquillité, pour de nombreuses personnes, ils peuvent être source de désaccords. Hauteur, feuilles mortes, etc., les sources de conflits de voisinage sont variées et nombreuses. Avant tout, observons les règles de base à propos des distances des plantations. Dès lors, que certaines prescriptions existent.

Qui constate les incivilités ?

Dépôts clandestins d'immondices, tags, graffitis, excréments de chiens, stationnements illicites, etc., la liste des incivilités rencontrées chaque jour dans nos villes est particulièrement longue. Nos villes et communes essayent tant bien que mal de gérer ces problématiques en adoptant des règlements communaux et surtout, en faisant constater les infractions à ces règlements.

Protégeons nos rivières de la pollution

Selon une étude publiée en 2009 par la revue internationale "Environmental pollution", la plupart des rivières européennes sont contaminées par une multitude de polluants organiques persistants (1). Une équipe de scientifiques du Centre de recherche européen pour l'environnement d’ISPRA en Italie, menée par Robert Loos, a en effet analysé plus de 100 rivières situées dans 27 pays européens. Des investigations sur la présence de 35 polluants organiques persistants ont été menées : produits pharmaceutiques, pesticides, hormones, ...

Les dépôts sauvages dégradent nos paysages et notre santé !

De la canette vide (durée de vie : 200 à 500 ans) jetée délibérément au bord de la route jusqu’à la montagne de pneus usagés s’élevant en pleine nature, en passant par le tas de déchets divers (durée de vie de quelques jours à plus 4000 ans pour certains) retrouvé au coin d’un bois, les dépôts d’immondices polluent notre environnement. La dégradation des paysages et la dangerosité pour les passants en constituent les conséquences les plus directes.

Racisme et tensions communautaires dans le football belge : des cas isolés

Avec la canalisation des violences physiques dans le football belge, l’attention des gestionnaires de la sécurité mais surtout des observateurs s’est partiellement et progressivement reportée, plus nettement à partir des années 2000, sur d’autres formes visibles d’incidents, au premier rang desquels les violences verbales et provocations diverses. Le racisme et, en Belgique, les insultes communautaires ou culturelles sont alors au cœur des débats.